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Glossaire de termes d'astronomie


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Nom Définition Lien
Parallaxe En astronomie, la parallaxe est l’angle sous lequel on pourrait voir une longueur connue, depuis un astre quelconque. Lien
Parsec Le parsec de symbole pc, est une unité de longueur utilisée en astronomie. Il est défini comme valant exactement
648 000 / π
unités astronomiques, soit environ 3,26 années-lumière.
Périhélie Les objets en orbite autour du Soleil : planètes, astéroïdes, comètes ont des orbites eliptiques. Le périhélie est le point sur l'orbite ou l'astre est au plus près du Soleil. Par extension, cela représente aussi la date où l'objet atteind ce point. Lien
Philosophiae naturalis principia mathematica (latin pour « Principes mathématiques de la philosophie naturelle »), souvent abrégé en Principia ou Principia Mathematica, est l'œuvre maîtresse d'Isaac Newton. Cet ouvrage en latin est publié à Londres en 1687.

C'est un des plus importants livres scientifiques jamais édités. Dans cet ouvrage, Isaac Newton applique « les lois mathématiques à l'étude des phénomènes naturels ». Cela donne ce que l'on appelle de nos jours les lois du mouvement de Newton, lois qui établissent le fondement de la mécanique newtonienne, ainsi que la loi universelle de la gravitation.

À partir de ces lois, Newton déduit aussi les lois de Kepler du mouvement des planètes, qui ont été obtenues empiriquement par Johannes Kepler. De nombreuses autres choses y sont aussi exposées : les lois des chocs, le mouvement des fluides, la théorie des marées, etc.

En formulant ces théories physiques, Newton développe le calcul infinitésimal, un domaine des mathématiques. Néanmoins, le langage du calcul infinitésimal est largement absent des Principia car Newton y a reformulé la majorité de ses démonstrations en arguments géométriques, le langage courant de la physique à cette époque.

Dans son édition originale en latin (Londres, 1687), l'œuvre s'ouvre par une préface au lecteur (Praefatio ad lectorem) et un hommage à l'auteur par Edmond Halley
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Photon Le photon est le quantum d'énergie associé aux ondes électromagnétiques (allant des ondes radio aux rayons gamma en passant par la lumière visible), qui présente certaines caractéristiques de particule élémentaire.
Le photon correspond à un « paquet » d’énergie élémentaire, ou quanta de rayonnement électromagnétique, qui est échangé lors de l’absorption ou de l’émission de lumière par la matière. De plus, l’énergie et la quantité de mouvement (pression de rayonnement) d’une onde électromagnétique monochromatique sont égales à un nombre entier de fois celles d’un photon.
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Point de Lagrange Un point de Lagrange est une position de l'espace où les champs de gravité de deux corps en mouvement orbital l'un autour de l'autre, et de masses substantielles, fournissent exactement la force centripète requise pour que ce point de l'espace accompagne simultanément le mouvement orbital des deux corps. Dans le cas où les deux corps sont en orbite circulaire, ces points représentent les endroits où un troisième corps, de masse négligeable, resterait immobile par rapport aux deux autres, au sens où il accompagnerait à la même vitesse angulaire leur rotation autour de leur centre de gravité commun sans que sa position par rapport à eux n'évolue.
Au nombre de cinq, ces points se scindent en deux points stables dénommés L4 et L5, et en trois points instables notés L1, L2 et L3. Ils sont nommés en l'honneur du mathématicien français Joseph-Louis Lagrange. Voir les études sur les astéroïdes "Troyens" de Jupiter.
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Point rouge Petit instrument d'optique monté parrallèlement à l'instrument principal et doté d'un grand champ angulaire (faible grossissement) pour faciliter le pointage d'un objet céleste. Après un alignement correct, le viseur à point rouge superpose un petit point rouge sur le ciel, là où le télescope est pointé. Le chercheur à point rouge doit être correctement aligné avec le télescope principal avant utilisation. Il s'agit d'un processus simple utilisant les boutons de contrôle d'azimut et d'altitude. Lien
Pôle Nord céleste Dans l'émisphère nord, point de la sphère céleste vers lequel pointe l'axe de rotation de la Terre et autour duquel le ciel semble donc tourner. C'est un des points de référence importants pour les astronomes et les géographes, la détermination de sa position sur la voûte céleste est fondamentale. L'axe de rotation de la Terre n'est pas fixe avec le temps (voir précession des équinoxes et oscillation de Chandler), ainsi la position des deux pôles célestes varie au cours du temps. Par exemple, il y a environ 14 000 ans, c'était l'étoile Véga qui déterminait le pôle Nord céleste, et ce sera à nouveau le cas dans environ 12 000 ans. Le pôle nord céleste est, par définition, le pôle nord du système de coordonnées équatoriales. Sa déclinaison, c'est-à-dire sa latitude dans ce système de coordonnées, est de ±90°. Lien 1

Lien 2
Pouvoir séparateur le pouvoir séparateur mesure la limite d'une optique (l'oeil ou un instrument d'astronomie) à distiguer à distance deux points contigus. Le pouvoir séparateur de l'oeil est égal à 1' (une minute d'arc).
Pour un instrument : télescope ou lunette, le pouvoir séparateur est donné en divisant 120 par le diamètre de l'objectif. Ainsi pour une lunette dotée d'un objectif d'un diamètre de 60 mm le pouvoir séparateur est donc de : 120 / 60 = 2 secondes d'arc. Il sera de 0,30 seconde d'arc avec un télescope doté d'un diamètre de 400 mm.
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Pousière interstellaire Grains de carbone ou de silicates et d’eau pouvant avoir une taille comprise entre quelques dizaines d’angströms et quelques microns. Les grains de poussière sont produits dans les enveloppes des étoiles géantes puis sont ensuite disséminés dans le milieu interstellaire à la fin de la vie de l’étoile. Au sein de nuages moléculaires ou autour de protoétoiles où le milieu est dense, les grains de poussière grossissent par collisions jusqu’à former des petits corps rocheux. La poussière absorbe la lumière visible et UV et se réchauffe puis émet du rayonnement infra-rouge, qui permet sa détection. Lien

Pulsar Un pulsar est une étoile à neutrons tournant très rapidement sur elle-même (période typique de l'ordre de la seconde, voire beaucoup moins pour les pulsars milliseconde) et émettant un fort rayonnement électromagnétique dans la direction de son axe magnétique, allant de l'ordre de la milliseconde à quelques dizaines de secondes.
Les pulsars ont été découverts de façon quelque peu fortuite, en 1967, par Jocelyn Bell (maintenant Jocelyn Bell-Burnell) et son directeur de thèse Antony Hewish.
La découverte des pulsars a permis le développement important de très nombreuses disciplines de l'astrophysique, depuis les tests de la relativité générale et de la physique de la matière condensée jusqu'à l'étude de la structure de la Voie lactée, en passant bien sûr par les supernovas.
Pupille de sortie La pupille de sortie c'est la taille de l’image sortant de l’oculaire et arrivant dans l’œil de l’observateur.La pupille d’un adolescent peut s’ouvrir jusqu’à 7 voire 8 mm lorsque sa vision est complètement adaptée à l’obscurité. Celle d’un jeune trentenaire se dilate jusqu’à 6,5 mm, l’ouverture diminuant d’environ 0,5 mm par décennie. Ainsi, la pupille d’un sexagénaire s’ouvrira jusqu’à 5 mm au mieux.
Calcul : Diamètre de l'objectif divisé par le grossissement = pupille de sortie. Exemple :
• Pour un Newton de 203/1000 mm
• Focale oculaire de 25 mm
• Grossissement ➔ 40x
• Angle de champ ➔ 50°
• Champ réel sur le ciel ➔ 1,3°
➔ Pupille de sortie : 203 / 40 = 5 mm.
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